Encore sur l'affaire Hamadi Touil, l'homme d'affaires qui s'est enfui après la révolution, et après Moez Ben Gharbia et Wassim Migalou, c'est le tour de Samir El Wafi d'être arrêté pour chantage de ce membre du gang de le famille Trabelsi.
Une sale affaire commencée par le voyou Moez Ben Gharbia poussé par une jalousie de fille ado pour frapper l'image de son rival avec des méthodes mafieuses entrainant l'acteur Wassim "Migalou" en le poussant a imiter la voix du président de la Tunisie, ce vieillard au palais de Carthage, dans le seul but de convaincre Hamadi Touil qu'il peut l'aider à revenir en Tunisie en échange des enregistrements qui accusent Samir El Wafi de chantage. Des méthodes d'une extrême bassesse d'un mafieux qui se déguise en journaliste et qui s'apprête maintenant à ouvrir sa propre chaîne de télé. On ne doit pas aussi oublié son rôle et sa tentative désespérée de sauver le régime de Ben Ali lors de cette fameuse émission du 13 Janvier.
Des journalistes ou des gangsters ??
Samir El Wafi ne diffère pas trop du son rival, c'est juste deux gangsters qui s'affrontent publiquement, cependant, les empreintes du parti en pouvoir sont claires dans cette affaire. On ne doit pas oublier les menaces du conard Mohsen Marzouk à Samir El Wafi avant que le vieillard ne vienne au palais de Carthage.
L'extorsion et le chantage des hommes d'affaires et des politiciens sont des pratiques très courantes dans les médias tunisiens, biensur il y a journalistes honnêtes, mais le nombre est bien trop trop peu, car sans ces pratiques, on ne peut songer à avoir son propre journal ou sa propre chaîne de télé.
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