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En Tunisie, la police est sortie comme comme seule bénéficiaire de la révolution : après avoir tué et torturé des centaines de tunisiens, ils n'étaient pas jugés, ni arrêtés, mais au contraire ils se sont permis d'avoir des syndicats pour demander encore plus d'argent et d'avantages financiers ainsi que des primes et d'indemnités et ils demandent toujours plus.



En Tunisie, la police n'a pas honte de protester contre leurs chefs et crier dégage dans une rébellion très étrange à la Tunisie, après plus d'un demi siècle durant lequel ils ne connaissaient qu'un seul mot : oui chef. plus d'un demi siècle, ils étaient comme des putes tout simplement, d'ailleurs les putes sont autorisées par l'état en Tunisie et il se trouve qu'elles ''travaillent" sous la tutelle du ministère de l'intérieur, donc putes et police en Tunisie ça fait la même chose.

Et voilà il y a quelques mois, sous prétexte de lutte contre le terrorisme et par crainte sur leur sécurité, ils sont autorisés à porter les armes chez eux, bien qu'ils soient une bande d'ignorants violant et alcooliques. et pas besoin de parler de torture qui n'a jamais cessé, au contraire, sous ce même prétexte de lutte contre le terrorisme, la torture est bien encouragée par une partie de peuple.

Tout ça rend la Tunisie le parfait exemple de l'état de police qui l'a été depuis toujours, et la liberté d'expression n'est qu'une illusion dans mon pays, quand il s'agit de critiquer certaines personnes. Bien évidement, la police ne cache pas son soulagement après le retour du vieux régime avec Béji Caid Sebsi qui un jour les a qualifié de singes,,, mais bon, ils le sont, et ils le savent bien, donc c'est acceptable de la part du vieillard.

Je reviens donc sur ce policier débile, expulsé par le ministre de l'intérieur Farhat Rajhi en 2011 et venait parler de son cas sur les plateaux de la chaîne Zitouna TV, se présentant comme victime tout critiquant l'ancien ministre Mr Ali Laarayidh et comme par hasard salua lazhar Akremi et lotfi ben jeddou, le premier étant comme on le sait ministre et haut cadre au parti des cons Nidaa. Alors que le présentateur qualifia la Tunisie d'état de police, ce policier que j'ai oublié le nom, s'énerve, puisqu'il est ignorant, et fini son numéro par quitter le plateau, et il a bien fait puisque la présence d'un policier est toujours insupportable.

La vidéo :



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