On n'est pas sûr de l'info, car la source est le n°1 de presse jaune AlChourouk datant du dimanche passé le 4 Janvier. J'ai bien fouillé les Journaux italiens pour trouver une trace de l'info sans succès, ce qui est étrange puisque les médias italiens font de ces faits la une de l'actualité, spécialement avec la haine accrue envers les immigrés vu la situation économique et social dégradées du pays.
Donc l'info ou l'intox, dit qu'une italienne est venue passée la fin d'année en Tunisie, invitée par une tunisienne qu'elle connaît depuis Facebook, on ne sait pas si elles sont des lesbiennes mais c'est fort probable puisque la tunisienne n'est pas venue accueillir l'italienne qui fut obligée de passer vers un hôtel à Tunis. C'est là que lorsqu'elle est allée se balader en Taxi, qu'elle fait connaissance du chauffeur qui lui invite plus tard à sortir après échange de numéros de téléphone, cependant le chauffeur l'emmena dans une maison à El Ouina et l'offre à un homme qui viole la femme avec 2 autres personnes, restant dans cette maison pendant 2 jours avant qu'elle ne puisse fuir. La police a pu arrêté le chauffeur du taxi ainsi que l'un des trois violeurs.
Une histoire dégoutante mais se reproduit en Tunisie tous les jours avec des tunisiennes. Ce pays est en train de perdre tous liens avec ses racines arabes et muslmanes, au plaisir d'une minorité qui dirige les cerveaux d'un peuple perdu. Le viol en Tunisie est un problème très inquiétant, suffit d'ouvrir les journaux et s'apercevoir que les histoires de viol sont quotidiennes, parfois au sein de la même famille ou encore envers les enfants.
Je pense que le problème est que pour un criminel habitué à la prison, ne va pas être trop gêné par les quelques mois de prison pour un viol de femme, biensûr les peines sont différentes selon l'âge de la victime mais ne sont pas du tout suffisantes pour faire peur et empêcher les gens de commettre ce crime. Associé au chômage, alcool et drogue, les jeunes tunisiens sont susceptibles de commettre les pires de crime. On se rappelle ici d'une bande qui a violé une femme devant les yeux de son mari il y a pas longtemps, sans parler de viol d' enfants. Aussi, les violeurs peuvent aller très loin en tuant leur victime intentionnellement ou sous peur de représailles.
Les problèmes de la femme tunisienne n'ont jamais étés le voile ou la liberté sexuelle comme prétendent certains conards qui se disent intellectuels mais ceci est l'un des problèmes qu'on traite pas, il faut que les peines soient vraiment des peines. Je pense que l'exécution des violeurs comme dans certains pays est la solution idéale, parce que ce même violeur serait prêt à tuer pour protéger sa femme ou sa propre fille. Mais bon, puisque les femmes dans mon pays sont occupées par le voile et la liberté sexuelle, qu'elles se fassent toutes violées, on s'en fout comme même des pûtes.
Je pense que le problème est que pour un criminel habitué à la prison, ne va pas être trop gêné par les quelques mois de prison pour un viol de femme, biensûr les peines sont différentes selon l'âge de la victime mais ne sont pas du tout suffisantes pour faire peur et empêcher les gens de commettre ce crime. Associé au chômage, alcool et drogue, les jeunes tunisiens sont susceptibles de commettre les pires de crime. On se rappelle ici d'une bande qui a violé une femme devant les yeux de son mari il y a pas longtemps, sans parler de viol d' enfants. Aussi, les violeurs peuvent aller très loin en tuant leur victime intentionnellement ou sous peur de représailles.
Les problèmes de la femme tunisienne n'ont jamais étés le voile ou la liberté sexuelle comme prétendent certains conards qui se disent intellectuels mais ceci est l'un des problèmes qu'on traite pas, il faut que les peines soient vraiment des peines. Je pense que l'exécution des violeurs comme dans certains pays est la solution idéale, parce que ce même violeur serait prêt à tuer pour protéger sa femme ou sa propre fille. Mais bon, puisque les femmes dans mon pays sont occupées par le voile et la liberté sexuelle, qu'elles se fassent toutes violées, on s'en fout comme même des pûtes.
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