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Le groupe de hackers tunisiens qui a participé à la fameuse attaque informatique contre Israel, porte une leçon très dure au gouvernement tunisien, en piratant des dizaines de sites du gouvernement à commencer par l'agence tunisienne de l' Internet (ATI) supposé être l'un des sites les plus protégés du pays.

L'attaque, malgré son ampleur, est passée inaperçue dans les médias novembristes, chose logique, leur #Karakouz vient tout juste d'entrer à Carthage, ils ne veulent surtout pas lui montrer les messages envoyés par les jeunes hackers, ça pourrait causer à la momie une forte dysenterie lors de son premier jour au palais. 


L'attaque vient comme réponse à l'arrestation de Yassine Ayari ainsi qu'à la compagne de désinformation que le pays a subit depuis la révolution de la part de médias novembriste pour le compte des traitres du parti vainqueur. Il faut souligner ici que la moyenne d'âge de ces hackers est de 23 ans, et ils ont déjà dévoiler pas mal de scandales qui touchent journalistes et politiciens qui ont participé à la comédie du siècle qui a amené la momie Béji Caid Sebsi à la présidence.

Les attaques des Fallagas constituent une forme de lutte contre l'ancien régime et montrent encore une fois la corruption et l'injustice qui fait que des incompétents prennent la place de jeunes talents et ceci n'est pas limité au secteur informatique mais à tous les autres domaines exigeant un certain niveau de compétence. 

Seul le président Marzouki s'est dit fier de ces jeunes talents qui participent à l'amélioration de la sécurité informatique en Tunisie, une sécurité cependant quasi inexistante. On note aussi que #Yassine Ayari est aussi un ingénieur informatique talentueux, et il se trouve aujourd'hui en prison pour un simple statu Facebook.




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